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18 novembre 2006

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18 novembre 2006

Duel à mort entre Wade et Idy : Ce que risquent les combattants...

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Duel à mort entre Wade et Idy : Ce que risquent les combattants...

Et comme celle ayant opposé Senghor à Mamadou Dia dans les années 60, cette bataille devra finir avec "la mort politique" (Dia a amorcé sa renaissance bien des années après) de l'un des protagonistes. D'ailleurs, cette vérité, Wade et Idy en sont tous les deux conscients. Toutefois, les données du combat ne sont pas les mêmes. Le président de la République est peu préoccupé par son futur en politique avec plus de 80 ans.
Or, M. Seck a tout son avenir devant lui. C'est dire qu'il a beaucoup plus intérêt à sortit vainqueur de ce duel. Wade a moins de chose à perdre, pour ne pas dire qu'il n'a plus rien à perdre. Sa carrière politique est derrière lui. Tout ce qu'il lui reste c'est de laisser à la postérité un legs assez positif pour que l'histoire s'en souvienne. Mais, s'agissant de son ex-bras droit Idrissa Seck, tout se passe comme s'il en faisait un combat personnel.
Tous les moyens sont bons pour "casser" du Seck et il a frappé là où cela fait plus mal: L'honorabilité de la personne. Alors, il le balance en prison, parle de vol d'argent tout en sachant que dans notre société, le voleur ne peut jamais complètement se réhabiliter aux yeux de ses concitoyens. Ce faisant, il marque incontestablement des coups d'ordre moral et même politique.
Wade oblige son adversaire à se lancer à fond dans le combat, à sortir de son mutisme et à multiplier les déclarations. Et comme les erreurs sont inévitables, Idy en commet avec ses fameuses déclarations sur les fonds politiques. Ses sympathisants, amis et autres proches s'interrogent. Des partis politiques lui demandent de publier la comptabilité de ses fonds. Certains vont même jusqu'à lui demander de rembourser cet argent du trésor public.
L'image du messie s'effiloche. Et tout ceci contribue à fragiliser l'homme et à rétrécir l'attrait qu'il exerçait naguère aux yeux de ses concitoyens. Et son vieux adversaire sentant tenir le bon bout, lance une autre offensive. Il fait arrêter un de ses conseillers financiers "pour complicité de blanchiment d'argent" tout en laissant deviner que l'auteur principal est Idrissa Seck.
Pendant ce temps, la société civile, les partis politiques et nombre d'observateurs sénégalais s'offusquent des informations sur le protocole de Rebeuss. Un autre débat, une autre offensive du camp présidentiel. Les négociations sur la sortie de M. Seck constituent un autre goulot d'étranglement pour ce dernier multipliant les obligations de clarification du maire de Thiès à l'endroit du peuple sénégalais.
Il lui fallait justifier ses milliards, aujourd'hui, il lui faut également s'expliquer sur les conditions de sa sortie de prison. Me Wade sait qui lui aussi devra s'expliquer sur ce dossier au même titre que son ex-second, mais, il le fera difficilement. Car, il ne daigne pas "se mouiller" dans ce dossier et faire "se mouiller" Idrissa Seck pour des raisons que nous avons dit plus haut. Il sait que le patron de Rewmi a toute sa carrière à faire et que lui, Wade a encore peu de choses à espérer en politique.
Alors, il l'entraîne dans le gouffre. C'est en cela que le combat entre les deux est inégal. Entre Dia et Senghor, il s'agissait de deux jeunes ambitieux avec l'avenir devant eux. Ce qui n'est pas le cas entre Seck et Wade. Le "Pape du sopi" est sûr "qu'on peut tout faire mais on ne réussira pas à mettre le peuple sénégalais contre (lui) parce qu'il croit en (lui)" comme il a eu à le dire tout récemment à la présidence recevant les journalistes.
Néanmoins, les conséquences d'une telle démarche pour l'après-Wade du Pds peuvent être catastrophiques. Le parti pourrait avoir du mal à survivre. Dans tous les cas, Idy lui, n'a pas fait vingt ans d'opposition et il doit presque tout à son adversaire. Alors, il lui sera lui aussi très difficile de sortir indemne de ce combat, politiquement s'entend.
Un seul exemple: S'il publie les documents comptables qu'il dit détenir par devers lui ou les écrits portants sur les négociations de sortie de prison, on va le taxer de "calomniateur-ingrat" et s'il ne les publie pas, il sera considéré comme "pas propre". Et M. Seck nage dans beaucoup de contradictions de ce genre dans lesquelles ses anciens "frères" ne cessent de l'y placer pour le mettre au chaos. Mais, le problème avec ce combat, c'est que "les spectateurs" en ont vraiment assez.


Samedi 18 Novembre 2006

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Posté par Juge le 18/11/2006 03:20

18 novembre 2006

Dialogue politique : L'exclusion de Talla Sylla et de Idrissa Seck dénoncé

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Dialogue politique : avancées et limites
‘En ce qui concerne le dialogue politique, nous avons vu des points qui sont positifs. Par exemple, le fait de balancer le fichier électoral sur Internet, de rencontrer les leaders politiques et d'accepter un audit permanent du fichier électoral. Il est évident qu'on peut nourrir un espoir raisonné par rapport aux mesures qui viennent d'être prises concernant la possibilité d'auditer le fichier et de mettre le fichier sur Internet ou de mettre des listings à la disposition des partis et de la société civile. Maintenant que la concertation sur tous les aspects du contentieux a lieu entre les autorités, les partis politiques et la société civile, nous pensons nourrir l'espoir d'aller vers des élections apaisées.

‘Le dialogue permet au moins de dégrossir le contentieux préélectoral, ça permet, également, d'instaurer un climat politique apaisé, de restaurer la confiance des acteurs politiques, mais également de crédibiliser le processus électoral en cours. Cela fait partie des points que nous estimons positifs. Il faudra ajouter à tout cela le respect du cahier des charges du ministère de l'Intérieur par rapport aux élections présidentielle et législatives.

‘Pour ce qui est des points négatifs, il y a le fait que le dialogue n'est pas inclusif. C'est-à-dire la non invitation de certains leaders de partis au dialogue politique. C'est le cas d'Idrissa Seck et de Talla Sylla. Et cela peut avoir un impact négatif sur le consensus. Il y a aussi le refus de certains partis politiques de répondre à ce dialogue, ce qui est leur droit le plus absolu'. Couple Wade/Idy

‘A l'heure actuelle, tout se passe comme si on avait anticipé la campagne électorale en ouvrant les ‘égouts' de la République. Et ça pue. Il y a ce que j'appelle la crise dans la crise. C'est-à-dire la relation du couple infernal, Wade/Idy. Il y a le faux problème de la légalisation du parti Rewmi, la question de son passeport diplomatique. Je pense que tous les anciens Premier ministres de ce monde ont des passeports diplomatiques à vie. Il s'y ajoute le problème de son véhicule et de son harcèlement juridique. C'est pour cela que nous avons dit qu'il faut que le dialogue soit inclusif, que des gens comme Talla Sylla, Idrissa Seck puissent être reçus par le président de la République, qu'ils discutent ensemble de manière à élargir l'assiette de ce qu'on peut appeler le consensus sur le processus électoral'. Fonds politiques et cadeaux présidentiels

‘Sur les fonds politiques, les fonds diplomatiques et les cadeaux présidentiels, force est de constater que nous sommes dans une zone de non-droit et d'une absence totale de réglementation. Tout se passe comme si ces fonds constituaient la chose du président de la République qui en dispose comme bon lui semble et cela, de Senghor à nos jours.

‘La marque de l'alternance, c'est l'immodération, notamment dans l'usage privé des fonds politiques. Il faut condamner et bannir cet usage privé, abusif et indécent des fonds politiques.

‘Toutes les démocraties modernes ont commencé à exercer un contrôle sur la gestion et la transparence de ces fonds. Au Sénégal, il faut d'urgence agir et intégrer la question dans le débat présidentiel en cours, dans le cadre global de la reconstruction de notions aussi simples et fondamentales que le bien public et l'intérêt national'. Indépendance de la justice

‘Le Sénégal donne aujourd'hui l'impression d'un Etat fonctionnant beaucoup plus sur le mode arbitraire, ayant recours plus à la force qu'au droit du fait de la réaction de la justice caractérisée par ‘l'à plat ventrisme', le ponce-pilatisme et la déresponsabilisation. Il y a une instrumentalisation de la justice, surtout à travers ‘l'accord de Rebeuss' et sur beaucoup d'autres problèmes. Or, dans un Etat de droit, la justice est non seulement le dernier rempart, mais elle est la garante de l'Etat de droit. Il nous faut renforcer l'indépendance de la justice, la dignité des juges. Et nous lançons, également, un appel aux juges, pour qu'ils se ressaisissent et se rendent compte qu'ils rendent la justice au nom du peuple sénégalais. Si nous n'avons pas une justice capable de trancher les litiges, les contentieux, si nous n'avons pas une justice crédible, nous allons toujours avoir recours à des procédés bancals comme ce qu'on appelle ‘l'accord de Rebeuss', qui aboutissent à des compromis non seulement boiteux, mais sans éthique. Parce que, même si vous parvenez à nouer des accords pour régler un conflit, le minimum d'éthique, c'est de faire en sorte de ne pas remettre les choses sur le tapis. Pis, on a jeté de l'opprobre sur la justice, c'est inadmissible et condamnable'. Création d'une Cour constitutionnelle

‘La justice est très affaiblie depuis le début de l'alternance alors qu'elle devait gagner en crédibilité. Nous avons vu que le Conseil constitutionnel se déclare incompétent sur des questions stratégiques. Cela veut dire qu'aujourd'hui, nous ne disposons pas de mécanisme arbitral capable de vider certains contentieux politiques. Comment régler les contentieux politiques sinon que par le dialogue.

C'est pourquoi il faut dépasser le Conseil constitutionnel et aller vers la création de ce qu'on peut appeler une Cour constitutionnelle. Par exemple, la Cour constitutionnelle du Bénin s'est opposée à la prolongation du mandat des députés. Ce qui n'a pas été le cas avec notre Conseil constitutionnel'. Chantiers de Thiès, de Fatick, de l'Anoci et de l'Apix

‘Pour éviter l'instrumentalisation politique des chantiers de Thiès, de Fatick, de l'Anoci et de l'Apix, ce qu'il faut faire, c'est de procéder à une comparaison des barèmes de l'ensemble de ces chantiers, faire la lumière sur la procédure des appels d'offres et dire qui a dépensé quoi ?, qui a respecté quoi ?, le coût des kilométrages, des nivellements, de l'abattage des arbres... Qu'on nous fasse un barème. On pourra, au moins, avoir une approximation de la vérité. Sinon, depuis qu'on a commencé à parler des chantiers de Thiès, il est difficile pour les Sénégalais de se faire une véritable religion sur la question. Passons à la loupe chaque chantier et publions les résultats'. Rôle de la Raddho

‘Le rôle de la Raddho, c'est de lancer un appel à la raison, à la tolérance et au respect de la dignité et des droits de chacun, que ce soit à l'endroit de la société civile, des partis politiques et de l'opposition. C'est, également, d'instaurer une compétition à arme égale. C'est important dans tous les domaines. Par exemple dans le domaine du financement des partis politiques représentés à l'Assemblée nationale, l'accès égal de tous les partis politiques à la télévision nationale...'


Samedi 18 Novembre 2006

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18 novembre 2006

Sondage radio : Walf Fm caracole en tête, Sud Fm supplante Rfm

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Neuf mois après le dernier sondage, sorti en janvier 2006, l'Agence dakaroise d'études et de recherches stratégiques (Aders) vient d'effectuer un nouveau sondage du paysage radiophonique dans la région de Dakar. Cette étude, menée en septembre dernier, confirme la radio de Sacré-Cœur dans sa place de leader. Walf Fm, avec un taux d'audience de veille de 41,2 %, conserve son leadership et relègue à plus de vingt points ses autres concurrentes.
Ce sondage souligne que même si Walf Fm conserve la première place en tenant compte de l'audience veille, cette audience n'est plus aussi écrasante que ne le montraient les précédentes études. ‘La deuxième position qui, elle est très disputée, notent les enquêteurs, revient cette fois-ci à Sud Fm'. Selon eux, même si la Radio futurs médias (Rfm) semblait confirmer sa position de challenger de Walf Fm lors des derniers sondages, cette étude montre un renversement des positions au profit de Sud Fm.

La radio de l'immeuble Fahad recueille 21,80 % d'audience cumulée veille contre 20,10 % pour la Rfm. L'Aders souligne, toutefois, que ‘l'écart entre les deux radios Sud Fm et Rfm est si mince qu'il est possible d'affirmer qu'elles font quasiment jeu égal'. Quant à la radio Nostalgie, elle conserve sa quatrième place avec 14 % d'audience. Mais, Nostalgie voit l'écart se creuser avec les trois radios de tête. Les radios qui suivent ce quatuor de tête sont respectivement : Lamp Fall Fm avec un taux de 10,4 %, Radio France internationale et Soxna Fm ex-aequo 9,3 %, Dunyaa Fm (8,7 %) Top Fm (4,6 %). Les chaînes Walf 2 et Walf 3 occupent les onzième et douzième places du sondage.

Cette étude, note l'Aders, est différente des études précédentes dans le fond. Notamment sur la meilleure connaissance des habitudes de fréquence des médias par les Dakarois, avec la possibilité de comprendre le changement de fréquentation lorsqu'un événement, comme la Coupe du monde, survient. Mais aussi la prise en compte du nouveau medium que constitue l'Internet.

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